Les "filles du Distilbène", dont les mères ont pris ce médicament pendant la grossesse, ont une augmentation du risque de cancer du sein, mais il n'y a pas plus d'anomalies de l'appareil génital chez les "petites-filles" (3e génération), selon une étude publiée lundi. Le Distilbène (DES) est le nom commercial d'une hormone de synthèse prescrite en France entre 1950 et 1977 aux femmes enceintes pour prévenir les fausses couches. Les "filles DES" exposées in utero ont souffert de cancers génitaux (col de l'utérus et vagin) et de graves difficultés de reproduction (infertilité, fausses couches, accouchements prématurés...). Selon le réseau DES France, à l'origine de cette étude, financée par l'agence du médicament ANSM et soutenue par la Mutualité Française, "au moins 160.000 enfants nés pour la plupart dans les années 1970 auraient été exposés au produit".
Distilbène : les petites filles des premières victimes épargnées d’anomalies lourdes
Publié le 01/12/2014
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
La perturbation stromale, nouveau biomarqueur des cancers du sein agressifs
La vaccination anti-HPV au collège est bien acceptée mais l’information doit être renforcée
VIH : les statines recommandées en prévention primaire de l’athérosclérose aux États-Unis
L’ovéporexton, une nouvelle molécule efficace dans la narcolepsie de type 1