selon l'ANSM selon un avis publié le 26 janvier 2023. L'Agence avait interdit en 2019 la mise sur le marché de certains types d’implants mammaires « macrotexturées » et ceux recouverts de polyuréthane, en raison d’un risque accru de développer un lymphome anaplasique à grandes cellules (LAGC-AIM). D’après l’ensemble des données collectées, elle dit ne pas disposer à ce jour d’éléments indiquant un sur-risque d’apparition de LACG-AIM pour les implants actuellement mis sur le marché en France.
Le chiffre de la semaine
103 cas de LAGC associés au port d'implants mammaires
Par
Publié le 26/01/2023
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Imagerie par Résonance Magnétique ( IRM ) montrant une implantation de prothèse mammaire. Une capsule de vitamine E ( à gauche ) a été placée sur la surface du sein pour indiquer l'emplacement d'une anomalie suspectée.
Crédit photo : SPL/Phanie
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
Convaincre les soignants en burn-out qu’ils ont besoin d’aide, le défi du Dr Duret
Troubles psychiques sévères : de l’urgence d’harmoniser les pratiques
Le blinatumomab améliore la survie dans la LAL-B, le cancer pédiatrique le plus fréquent
Un vaccin VHB avec un nouvel adjuvant induit une meilleure séroprotection chez les personnes VIH +