« Il ne faut pas acheter le livre des Prs Bernard Debré et Philippe Even ». C’est en ces termes que Catherine Lemorton, députée socialiste de Haute-Garonne et présidente de la commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale, a commenté la sortie récente de cet ouvrage. Outre une attaque en règle de l’industrie pharmaceutique et du circuit du médicament, ce pamphlet propose une analyse des spécialités de 24 classes pharmaceutiques, et les range en trois catégories : utiles, inutiles ou dangereux.
Réputée peu tendre avec cette industrie, Catherine Lemorton a cependant pris ses distances avec le livre : « Il crée inutilement de l’anxiété au moment où médecins, pharmaciens, industriels et pouvoirs publics font tout ce qu’ils peuvent pour réconcilier les Français avec les médicaments, génériques ou princeps. C’est un livre contre-productif, écrit pour faire exister ses auteurs ».
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