Langue tirée, cheveux hirsutes, regard de savant fou. L’image d’Albert Einstein, décédé le 18 avril 1955 à l’âge de 72 ans, est bien présente dans les esprits. La revue « The Lancet » qui, en 1990, publiait une étude intitulée « The exceptionnal brain of Albert Einstein » (« L’exceptionnel cerveau d’Albert Einstein ») lui rend hommage avec une série de cinq articles sur les liens entre la médecine et la physique. Les progrès réalisés en physique jouent un rôle fondamental en médecine pour le diagnostic comme pour le traitement des maladies. Toutefois, les relations entre les deux disciplines remontent à la naissance même de la médecine, il y a 5 000 ans, même si elles ont été pour la première fois reconnues de manière officielle avec le prix Nobel de physique attribué à Wilhelm Röntgen en 1901 pour la découverte des rayons X. À l’ère de la postgénomique, les auteurs expliquent que, loin de se distendre, médecine et physique sont appelées à être de plus en plus proches. Les auteurs rappellent que les progrès les plus spectaculaires ont été souvent inattendus et qu’investir dans la recherche en physique est une clef pour de futurs succès en médecine.
L’histoire du jour
En souvenir d’Albert Einstein
Publié le 19/04/2012
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
Dr LYDIA ARCHIMÈDE
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Médecin: 9117
Troubles du neurodéveloppement : les outils diagnostiques à intégrer en pratique
Santé mentale des jeunes : du mieux pour le repérage mais de nouveaux facteurs de risque
Autisme : la musique serait neuroprotectrice chez les prématurés
Apnée du sommeil de l’enfant : faut-il réélargir les indications de l’adénotonsillectomie ?