En mai 2017, l’ANSM informait d’effets secondaires non répertoriés (anxiété, vertiges, fatigue, irritabilité…) avec le DIU Mirena, commercialisé depuis près de 20 ans. L’Agence constatait aussi une augmentation récente des déclarations au niveau national, « ne remettant pas en cause le rapport bénéfice/risque de Mirena, qui reste positif dans ses indications actuelles ».
Des patientes mécontentes avaient créé un groupe Facebook intitulé « Victimes du stérilet hormonal Mirena » et dénonçaient un manque d'information de la part de leur gynécologue. De son côté, le Collège national des gynécologues et obstétriciens (CNGOF) avait conseillé à la profession d'être « à l'écoute » des patientes et de « rester vigilants », tout en appelant à ce que cette dernière ne soit pas « dénigrée et accusée ».
L’ONU et une centaine d’ONG alertent sur la famine à Gaza
Le gouvernement veut faire du sommeil un pilier de santé publique
Transition de genre : premières recos chez l’adulte, la HAS se remet au travail pour les mineurs
L’État s’engage à augmenter le budget de l’EFS pour une souveraineté de la filière plasma