L’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris a déclenché le plan blanc, prévu pour les situations sanitaires d’urgence et de crise, suite à la vague d’attaques menées à Paris vendredi soir et qui auraient fait « plusieurs dizaines de tués, beaucoup de blessés » selon le président de la République, François Hollande.
« Le plan blanc a été déclenché à l'AP-HP depuis 22h30. Tous les services d'urgence et les services de SAMU sont sur le pont », a indiqué un porte-parole à l'AFP.
Dans la soirée, les syndicats de médecins ont appelé « tous les médecins et les professionnels de santé à suspendre le mouvement d’arrêt d’activité » entamé ce vendredi en protestation à la loi de santé, afin de « pouvoir faire face à toute urgence sanitaire sur le territoire ».
« Soyez disponibles pour vos structures et faites-le savoir » demande l’UCDF Le Bloc dans un communiqué. Pour la FMF, « l'heure est à la mobilisation de toutes les forces sanitaires ».
La Fédération hospitalière privée (FHP), qui s'était jointe à la grève des médecins, a également appelé les cliniques à suspendre le mouvement. « Nos premières pensées vont aux victimes de ces actes ignobles, à leurs familles et à leurs proches. Les services d'urgence privés sont pleinement mobilisés pour faire face à cette situation dramatique. La priorité immédiate est aux secours » déclare le président de la FHP, Lamine Gharbi.
L'appel à manifester, lundi 16 novembre, devant l'Assemblée nationale à l'occasion de l'examen du projet de loi de santé, est annulé. À la demande du président de la République, les deux chambres du Parlement devraient se réunir ce même jour en congrès à Versailles « pour rassembler la nation dans cette épreuve ».
« Le plan blanc a été déclenché à l'AP-HP depuis 22h30. Tous les services d'urgence et les services de SAMU sont sur le pont », a indiqué un porte-parole à l'AFP.
Dans la soirée, les syndicats de médecins ont appelé « tous les médecins et les professionnels de santé à suspendre le mouvement d’arrêt d’activité » entamé ce vendredi en protestation à la loi de santé, afin de « pouvoir faire face à toute urgence sanitaire sur le territoire ».
« Soyez disponibles pour vos structures et faites-le savoir » demande l’UCDF Le Bloc dans un communiqué. Pour la FMF, « l'heure est à la mobilisation de toutes les forces sanitaires ».
La Fédération hospitalière privée (FHP), qui s'était jointe à la grève des médecins, a également appelé les cliniques à suspendre le mouvement. « Nos premières pensées vont aux victimes de ces actes ignobles, à leurs familles et à leurs proches. Les services d'urgence privés sont pleinement mobilisés pour faire face à cette situation dramatique. La priorité immédiate est aux secours » déclare le président de la FHP, Lamine Gharbi.
L'appel à manifester, lundi 16 novembre, devant l'Assemblée nationale à l'occasion de l'examen du projet de loi de santé, est annulé. À la demande du président de la République, les deux chambres du Parlement devraient se réunir ce même jour en congrès à Versailles « pour rassembler la nation dans cette épreuve ».
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