Un manifeste commun du Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF), de la Fédération nationale des collèges de gynécologie médicale, et de la Société française de gynécologie, a recueilli 1 293 signatures de spécialistes, en date du 22 janvier. Cette pétition a été lancée à la suite de l’article du Monde , paru le 11 janvier, qui met en cause l’intégrité de 4 gynécologues-obstétriciens, (le Pr Israël Nisand, les Dr Christian Jamin, Sylvain Mimoun et Brigitte Letombe) aux liens d’intérêt avec les laboratoires relativement ténus.
« Nous, gynécologues et gynécologues-obstétriciens publics et libéraux, leur manifestons notre soutien personnel et professionnel. Nous travaillons tous, pour le bien des femmes, avec l’industrie pharmaceutique, dans le respect de la loi et de l’éthique médicale et dans la transparence. Nous ne sommes pour autant ni achetés ni vendus », peut-on lire en exergue du manifeste.
Chikungunya : l’épidémie en baisse à La Réunion, nouvelle phase du plan Orsec à Mayotte
[VIDEO] Simulateur d’IRM, de la clinique à la recherche
Une santé mondiale sans la première puissance est-elle possible ?
Maladies infectieuses : les décisions mortifères des États-Unis