Seuls 20 % des européens associent spontanément la contrefaçon aux médicaments. Majoritairement, ils identifient surtout cette pratique aux produits de luxe (72 %) et aux grandes marques de vêtements (63 %). Les Français semblent être les plus sensibilisés au problème (32 % associent médicaments et contrefaçon). À l’inverse, en Espagne, ce pourcentage tombe à 12 %.
Paradoxe, si 77 % des Européens se jugent insuffisamment informés sur le sujet, 96 % déclarent savoir que ces produits contrefaits « peuvent être ou sont certainement » dangereux.
Internet est désigné comme premier vecteur potentiel de cette contrefaçon par 90 % des sondés. 18 % déclarent avoir déjà acheté un médicament en ligne (cette pratique est beaucoup plus courante en Allemagne et au Royaume-Uni que dans les pays latins), et 78 % d’entre eux ont eu le sentiment de l’acheter « en toute sécurité ». En revanche, parmi ceux qui n’ont jamais acheté en ligne, 60 % jugent cette pratique dangereuse.
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