Jeune interne, Jean-Pierre Neidhardt a travaillé chez les militaires durant 30 mois. D’une façon parfois rudimentaire. Sans être officiellement chirurgien, il opère les victimes de blessures par balles, bombes, ou le fameux « sourire », signature du FLN infligée à l’arme blanche aux musulmans.
« Un jour, j’ai dû m’occuper d’un wagon entier, je me suis retrouvé seul face à 100 personnes… je n’ai jamais autant amputé… J’avais un livre d’exercices chirurgicaux ; pendant que l’infirmier tournait la page j’opérais. »
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