« Dans le monde hospitalier, il faut un outil qui s'intègre dans les outils existants, qui soit facile pour le patient, et pour lequel le RDV soit simple », explique Arthur Thirion, directeur général de Doctolib. Le leader de la prise de RDV en ligne lance en janvier 2019 son dispositif de téléconsultation chez les médecins libéraux qui avait essaimé chez 3 500 praticiens avant l'épidémie, et qui a explosé depuis début mars : 35 000 praticiens sont équipés à date. Mais la situation est différente pour les établissements de santé. Alors que Doctolib avait comme clients une vingtaine de CHU et 150 CH, aucun n'avait été demandeur en outil de télémédecine. Avec la crise, en deux mois, 70 hôpitaux ont été équipés, soit plus de 2 000 praticiens hospitaliers. Les spécialités qui avaient déjà un usage important de la prise de RDV en ligne ont fait de même avec la téléconsultation : psychiatrie, gynécologie, orthopédie et viscéral. Il leur fallait absolument compenser la baisse de leur perte d'activité (65 %), ce qui leur a permis de maintenir environ 25 % d'activité supplémentaire.
Doctolib, de la prise de RDV à la téléconsultation...
Publié le 13/07/2020
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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