Selon une étude publiée par l’édition américaine du Huffington Post (6 décembre 2017), les médecins et les infirmières figurent parmi les professions les moins exposées aux dérives psychotiques (avec les enseignants, artistes, comptables, aides à domicile, artisan).
Les chirurgiens, en revanche, sont signalés parmi les métiers les plus à risques psychopathiques (avec les avocats, les figures médiatiques, les policiers, les journalistes et les ministres du culte).
D’après l’Ordre, en France ce sont les spécialités d’ anesthésisie, de gynécologie obstétrique et de chirurgie générale qui sont les plus représentées parmi les signalements effectués.
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature