Les ECN restent un bon souvenir pour leur première major. Les semaines suivantes ont toutefois été délicates.
« Je conseillerais aux nouveaux internes de ne pas se décourager, met-elle en garde. La période qui suit les ECN est parfois déstabilisante. On passe d’un sentiment de satisfaction intense et de tête bien pleine après le concours, à un passage à vide lié aux nouvelles responsabilités et à la qualité d’encadrement qui est aléatoire. Je recommande donc de choisir, si possible, des stages dans des services bien encadrés pour les premiers semestres d’internat. Il faut bien réfléchir au choix de sa spécialité et au type de carrière que vous voulez mener : hospitalière, hospitalo-universitaire ou libérale… Ce choix, vous devez l’effectuer en fonction de votre affinité pour la spécialité, votre équilibre familial et personnel, la qualité de votre formation pratique mais aussi de vos rencontres professionnelles. Surtout, n’ayez pas d’a priori sur une spécialité ou un mode d’exercice. La pratique peut parfois réserver des surprises, positives ou négatives. Il faut savoir remettre son choix en question si c’est nécessaire. Ne cédez pas aux pressions extérieures et suivez votre intuition ! »
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature