1- Antalgiques et, en l'absence de contre-indications, anti-inflammatoires.
2- Éviter les antalgiques opiacés (constipation).
3- Traitement laxatif puissant (chez les grands constipés, coutumiers de ce type de traitement, il ne faut pas hésiter à augmenter les doses voire à recourir à des laxatifs stimulants). L'objectif n'est pas d'obtenir une diarrhée ou des selles fréquentes, mais un transit « facile ».
4- Motiver le patient pour une bonne observance, la principale cause de rechute étant le non-respect du traitement laxatif, notamment dans sa durée 2 mois).
5- L'application d'un topique gras soit avec un doigtier, soit sur un suppositoire, dans les premières semaines du traitement est également recommandé.
Les critères qui font craindre un échec du traitement sont une grande hypertonie sphinctérienne, une fissure ancienne avec des annexes très développées, un observance médiocre du traitement, une constipation intraitable. Mais aucun de ces critères ne doit faire l'économie d'une première séquence de traitement médical.
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