Si le diagnostic de tendinopathie mécanique est habituellement facile, le danger est de faire un diagnostic par excès et de négliger une pathologie articulaire, osseuse, neurologique (radiculaire, plexique ou tronculaire) ou vasculaire. Il faut toujours s’assurer d’une corrélation avec la clinique en cas d’image anormale en échographie ou en IRM, certaines lésions tendineuses pouvant être bien tolérées et asymptomatiques.
La prise en charge repose sur des mesures de bon sens, respectant les processus de réparation tendineuse et, en cas d’échec, en facilitant les adaptations, en restant prudent vis-à-vis de thérapeutiques plus agressives dont le bénéfice est souvent temporaire, en insistant sur les mesures préventives et de réadaptation et sans laisser passer le temps d’un traitement chirurgical réparateur ou supprimant un conflit.
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