Le patron de l’AP-HP souhaite une réorganisation pour s’adapter aux nouveaux modes de prise en charge (avec le développement de la chirurgie ambulatoire notamment), pour améliorer les conditions de travail et préserver plus de 4 000 postes. Mais les syndicats refusent que cette réorganisation s’effectue au prix de nouvelles réductions de moyens.

L’AP-HP assure que « le dialogue n’est pas rompu » mais les organisations syndicales semblent prêtes à engager un bras de fer avec la direction. En début d'après-midi, l'AP-HP annonçait que le taux de mobilisation du personnel était de 24 %, contre 34 %, le 21 mai dernier.