L’Association des médecins urgentistes de France (AMUF) salue « la victoire des urgentistes de Grenoble », opposés depuis le début de l’année à la direction de leur CHU.
« Les éléments qui figurent dans l’accord signé par les représentants de l’AMUF sont l’embauche de huit médecins, la création d’une garde supplémentaire, des travaux dans le service, des décisions rapides pour changer l’organisation et la rendre plus efficace quant à l’hospitalisation des malades », détaille l’association, satisfaite.
Dénonçant une « maltraitance institutionnelle organisée », 22 praticiens demandaient depuis le 21 janvier des moyens, des médecins et personnels administratifs supplémentaires et l’ouverture de lits destinés aux patients des urgences. Faute de quoi, ils menaçaient l’hôpital de démission collective à compter de ce vendredi.
L’IA, déjà une réalité mais pas sans de bonnes pratiques
Dr Yann-Maël Le Douarin (DGOS) : « Analysons les solutions d’intelligence artificielle sereinement et ensemble »
Comment gérer la crise en cas d’attaque, un RSSI témoigne
Pourquoi l’usage du DMP traîne autant à l’hôpital