Camionnettes ou camping-cars aménagés, ces cabinets médicaux ambulants sillonnent la campagne à la rencontre des patients sans médecin traitant. Cette médecine itinérante, autrefois assimilée à de la médecine foraine et interdite à ce titre, s’est développée dans plusieurs régions de France, sous différentes appellations (gynécobus, médicobus ou doctobus). La formule a ses détracteurs qui y voient une médecine au rabais et posent la question de la continuité des soins…
La médecine itinérante est-elle une (parmi d’autres) solution au manque de médecins dans les zones rurales ? Seriez-vous prêt à exercer occasionnellement dans ces conditions ? Faut-il craindre une médecine à deux vitesses ? Faut-il réserver cette formule à des opérations spéciales (dépistage, prévention…) ? À vous de débattre…
C’est vous qui le dites
« La caisse préfère un médecin qui donne peu d'arrêts, même injustifiables »
Éditorial
Ouvrir les vannes de la formation ?
L’obésité et le surpoids, peut-être pas une fatalité
La mise à mort de la médecine libérale est "en marche"