Moins bien rémunérés, submergés par la paperasserie, soumis à des horaires à rallonge, placés sous le contrôle de la Sécu, tenus responsables des problèmes d’accès aux soins… et malgré cela, souvent moins bien considérés que leurs confrères spécialistes. Le généraliste est-il aujourd’hui le parent pauvre de la profession ?
Les médecins ont-ils subi un déclassement au cours des dernières années ? Exercer la médecine générale est-il plus difficile ? Les autres spécialités sont-elles plus enviables ? Comment réduire l’écart s’il existe ? Quelles recettes pour redorer la médecine générale ? Si c’était à refaire, opteriez-vous pour cette spécialité ? À vous de débattre…
Éditorial
Ouvrir les vannes de la formation ?
L’obésité et le surpoids, peut-être pas une fatalité
La mise à mort de la médecine libérale est "en marche"
Tribune
« Nous devons construire un avenir où santé et environnement se renforcent mutuellement »