« La ROSP n’a pas changé ma façon de prescrire. Comme d’habitude, je prescris plutôt en DCI. Je ne marque "NS" que pour certains médicaments, comme les psychotropes. Les patients qui en prennent sont plus réticents à utiliser les génériques. À vrai dire, je n’ai même pas regardé les résultats que j’ai obtenus, ce dispositif n’étant pas ma tasse de thé. En novembre dernier, je m’étais dressé contre la mention “non-substituable”. Pourtant, je n’ai rien contre les génériques : j’en prescris régulièrement. Je pense que c’est important de faire des économies. C’est le fait d’écrire “non-substituable” que je ne supporte pas : on dirait que c’est le retour à l’école ! Comment fera-t-on quand il sera question de la dématérialisation des ordonnances »
Dr Ève Grislin*
« "NS" uniquement pour les psychotropes »
Publié le 03/05/2013
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
*Généraliste à Strasbourg (Bas-Rhin), à l’origine de la semaine du non-substituable
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
Article précédent
« J’ai l’habitude de prescrire en génériques »
Article suivant
« Je n’utilise jamais la mention "NS" »
« Des efforts conjugués »
La croisade du Dr Boukris
« J’ai l’habitude de prescrire en génériques »
« "NS" uniquement pour les psychotropes »
« Je n’utilise jamais la mention "NS" »
L’affaire Le Scouarnec, miroir des défaillances des instances médicales
Pr Régis Aubry, spécialiste des soins palliatifs : « Analyser collégialement une demande d’aide à mourir évite l’arbitraire et le subjectif »
Lien entre Androcur et méningiome : Bayer, Sandoz et Viatris condamnés au civil en France
Décès du Pr Étienne-Émile Baulieu, père de la pilule abortive