Les cellules NK (Natural Killer) seraient un marqueur d’évolution vers le diabète de type 1 (DT1), selon une équipe coordonnée à l’université de Cambridge. Un constat tiré des données transcriptionnelles de 400 enfants du consortium Teddy, cette étude prospective suivant des enfants à haut risque génétique de DT1. Facteur causal, réponse de l’hôte à un déclencheur viral (entérovirus) ou les deux, la question n’est pas résolue. Mais avec un modèle prédictif intégrant la séroconversion vers l’auto-immunité (auto-anticorps IAA et GADA) et le changement dynamique de la signature des cellules NK, les chercheurs espèrent pouvoir aider à suivre de façon précoce les enfants à risque, à prévenir l’acidocétose et à mener des essais de thérapies préventives.
L.-P. Xhonneux et al., Sci Transl Med, mars 2021. doi/10.1126/scitranslmed.abd5666
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