Sauf intolérance à la metformine (effets indésirables gastriques chez environ 10% des patients), les sulfonylurées (sulfamides hypoglycémiants : glipizide, gliclazide or glibenclamide) ne sont pas indiqués en première ligne dans diabète de type 2. À juste titre confirment des données issues du registre anglais « Clinical Practice Research Datalink » présentées à Barcelone.
Avec toutes les précautions que requiert l’interprétation d’une étude de registre, ce travail suggère que sous sulfonylurées, la mortalité toute cause seraient accrue de 58% lorsqu’elles sont prises en première ligne thérapeutique. En Grande-Bretagne, 7% des diabétiques de type 2 reçoivent encore des sulfonylurées en première intention.
Article précédent
Néphropathie et antidiabétiques
Article suivant
Des recos spécifiques
À chacun son risque
Néphropathie et antidiabétiques
Du danger des sulfamides en première intention
Des recos spécifiques
L’insuffisance cardiaque, parent pauvre
Apnée du sommeil de l’enfant : faut-il réélargir les indications de l’adénotonsillectomie ?
Endométriose : le ministère de la Santé annonce une extension de l’Endotest et un projet pilote pour la prévention
Pr Ibrahim Yakoub-Agha, hématologue : « Beaucoup d’indices nous intiment de produire des CAR-T cells académiques »
Le traitement des IST virales et parasitaires évolue