Les innovations en imagerie élargissent la palette d’analyses possibles, les indications augmentent en parallèle. Les besoins en imagerie ne font donc que croître, ce qui explique que les délais d’attente de certains examens s’allongent.
La nouvelle étude du SNITEM (1) révèle des chiffres alarmants et de grandes inégalités régionales : 34 jours pour passer une IRM de contrôle dans le cadre de la suspicion d’une récidive de cancer ; 61, 4 % des Français vivent dans une région où le délai moyen est de 30 jours ou plus, versus 51,3 % en 2016.
Le taux d’équipement national est de 14 IRM par million d’habitants (16,1 en Ile-de-France/11,2 en Bretagne).
(1) Institut Cemka-Eval, publiée par l’association Imagerie Santé Avenir, en collaboration avec le SNITEM
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