À Toulouse, les deux facultés de médecine se partagent les activités pour éviter les redondances. Mais un seul site ne suffirait pas à accueillir tous les étudiants et puis chacune a une culture différente et personnelle. À Purpan, nous avons un investissement pédagogique fort, initié de longue date avec notamment la mise en place d’un enseignement intégré (…). Ce fonctionnement a considérablement rapproché soignants et étudiants.
Jean-Pierre Vinel
Article précédent
Apprendre à soigner dans la langue de Shakespeare
Article suivant
Les deux facultés de médecine toulousaines cultivent leurs différences
Apprendre à soigner dans la langue de Shakespeare
Le mot du doyen
Les deux facultés de médecine toulousaines cultivent leurs différences
Marion Da Ros Poli (Anemf) : « Médecine, c’est pour la vie, chacun doit être libre de choisir son type d’exercice »
Assistant ambulatoire, stages dans les déserts, « engagement territorial » : les jeunes médecins dégainent leur arsenal anti-coercition
Les MSU, acteurs clés de l’encadrement des docteurs juniors
« L’accès au secteur 2 pour tous, meilleur moyen de préserver la convention », juge la nouvelle présidente de Jeunes Médecins